Bruxelles, 31 janvier 2011

Excellences, Mesdames et Messieurs les ambassadeurs
Distingués invités

Mesdames et Messieurs les représentants des Organisations régionales,
Mesdames et Messieurs,

Nous arrivons au terme de nos travaux, et c’est l’occasion pour moi de vous dire combien les discussions ont été enrichissantes.

Ce Symposium intervient à un moment particulier de la vie du Groupe ACP.

Nul d’entre nous n’ignore que le contexte mondial est en proie à un processus de changement qui va en s’accélérant.

En effet, les processus de globalisation ont créé un contexte nouveau non seulement par la mondialisation des échanges économiques et commerciaux, mais également par l’émergence de nouveaux pays qui vont jouer un rôle important dans la conduite des affaires du monde.
Ces pays sont déjà des partenaires au développement, car ils font partie du groupe des donateurs.

Cette nouvelle donne modifie l’architecture classique de l’aide au développement en apportant un nouvel éclairage sur la coopération Sud-Sud dont il est question aujourd’hui.

C’est pourquoi je me réjouis de la tenue de cette réunion, la première du genre organisée par le Groupe ACP en collaboration avec l’Organisation internationale de la Francophonie.

Les échanges constructifs qui se sont déroulés me laissent croire que dans ce domaine il y a beaucoup à faire et que la dynamique engagée devra être soutenue par toutes les parties prenantes afin de saisir et amplifier les opportunités qui s’offriront, mais également de relever le défi que comporte une coopération Sud-Sud responsable et mutuellement bénéfique.

Je voudrais réitérer mes sincères remerciements à nos distingués invités et orateurs, et leur souhaiter à mon tour une excellente année 2011, avec l’espoir que le contact établi aujourd’hui sera maintenu et approfondi au cours des mois à venir.

C’est sur cette note d’espoir que je souhaitais clore les travaux du premier Symposium ACP sur la coopération Sud-Sud.